jeudi 15 juillet 2010

Quand, couchée à deux heures le matin, j'ouvre les yeux à sept et ne pense plus qu'au plateau de mon petit déjeuner, au parfum de mon thé, à tous les plaisirs de la matinée, j'abandonne les draps de mon lit pour me précipiter dans la journée. 
Je mériterais de m'appeler Aurore mais, même piquant mon doigt à une quenouille, je serais tout à fait incapable de dormir cent ans. 
Pas plus que pour les travaux d'aiguille, je n'ai d'aptitude à être une princesse. 

Quoique... J'aime beaucoup les petits pois...